Une Étrange Affaire

Face à la crise de la cinquantaine, les couples se font et se défont, les amitiés se ressoudent ou volent en éclats. Il suffit parfois d’un incident, d’un accident, d’une maladie pour que tout bascule. Vous n’avez Encore Rien Vu. Entre infos et intox, complots réels ou imaginaires, le Covid-19 restera Une Étrange Affaire. Saura-t-on un jour si La Guerre est Finie ?

Beaucoup auraient aimé dire : « Partir, revenir… Je rentre à la Maison. »

Mais avec Sept Morts sur Ordonnance et les annonces du Dr Teyran, on se sent Derrière la Porte comme En Terre Étrangère alors qu’on croyait vivre dans Le Plus Beau Pays du Monde. Chacun est L’Émigré dans cet Archipel et joue Les équilibristes face à L’Ange noir car tel est Le Prix de la survie.

Ce jour-là, il y eut Un Blanc de Chine et beaucoup se firent du Mauvais Sang. Sous les Toits de Paris, certains se confinèrent dans Une Chambre en Ville.

De La Confusion des sentiments aux Sueurs Froides, ce fut pour ceux craignant Péril en la Demeure La Nuit de Varennes (à ne pas confondre avec Marennes) en prenant La Diagonale du Fou et La Poudre d’Escampette, s’ils n’avaient pas fait Le Saut dans le vide. Pourtant, Un homme, un vrai aura seul le courage d’affronter Le Prix du Danger.

Dans les Jardins en Automne, nous pourrons dire Adieu à Bonaparte, Le Général de l’armée morte du Peuple Singe. Avec La Poussière du temps, nous regretterons La Passante du Sans-Souci, La Fille Prodigue, La Belle Noiseuse ou Les Demoiselles de Rochefort. Je t’aime… Moi non Plus ! Nous avions vécu sans Passion un Conte de la Folie Ordinaire avec Vincent, François, Paul et les Autres mais Rien sur Robert. Restons à distance, avec Les Yeux, la Bouche close, en attendant une Intervention divine Habemus Papam.

Je rejoindrai Milou en Mai afin de retrouver dans La Cerisaie Le Goût des Myrtilles sans Le Sucre, ou écouter La Prophétie des Grenouilles tout en évitant Le Bal des Casse-Pieds. Je ne renonce pas à reprendre le Train de Nuit Paris Tombouctou pour Écrire contre l’oubli comme Beaumarchais, l’Insolent.

Au revoir Michel, tu as traversé Le Miroir magique.